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Formation à l’innovation pédagogique

Le 19 mars 2019, nous avons été formés aux innovations pédagogiques par Catherine Couturier, chercheuse en sciences de l’éducation à l’Université d’Artois.

Le programme de cette journée s’est construit autour de 3 objectifs :

  • Identifier les principes de base des pédagogies actives et les principaux leviers motivationnels
  • Réfléchir à la manière dont nous pourrions faire évoluer nos formations pour mieux impliquer les étudiants
  • Concevoir une formation en respectant l’alignement constructif.

Diverses méthodes pédagogiques ont été mises en pratique afin de nous faire travailler autour de la thématique : brainstorming, réflexions seuls et puis en groupe, élaboration d’une carte mentale, debriefing collectif, …

Parmi toutes les pratiques pédagogiques évoquées lors de cette journée, nous retiendrons qu’il est important de donner du sens à nos formations (à l’aide, notamment, d’objectifs d’apprentissage), que les outils technologiques dernier cri n’apportent en général pas de plus-value significative à l’apprentissage et qu’il est essentiel de réfléchir seul avant de partager ses réflexions avec d’autres.

Une journée riche en apprentissages que nous aimerions appliquer au plus vite dans nos formations documentaires !

Dépouillement partagé

En 2015, les bibliothécaires du groupe Dédale ont commencé à travailler sur un projet de dépouillement partagé des périodiques. Pour cela, ils ont d’abord dû harmoniser leurs pratiques, ce qui fut le début de débats sans fins ! En effet, les publics et les exigences divergent…

Ces discussions ont pourtant finit par aboutir à des règles de catalogage communes.

La deuxième étape du projet était de trouver le moyen technique d’y arriver. Certains échanges se faisaient déjà entre quelques bibliothèques à l’aide des paniers de PMB, logiciel quasiment unanimement utilisé. Cependant, si cela fonctionnait dans un petit groupe, le résultat était loin d’être parfait pour d’autres catalogues.
Nous avons donc dû réfléchir à une autre méthode et avons découvert l’OAI-PMH. Après avoir défini des connecteurs entrants et sortants, des synchronisations automatisées, des échecs et des succès, nous pouvons dire qu’à l’heure actuelle, la méthode fonctionne entre les bibliothèques travaillant avec PMB.

En parallèle à ces soucis techniques, nous avons réalisé une liste des périodiques en commun entre les bibliothèques et avons procédé à la répartition des titres. Là encore ce n’était pas une mince affaire mais nous en sommes sortis vainqueurs !